Traités
La brebis perdue
Jésus, le vrai berger L’histoire suivante illustre l’amour et la sollicitude de Jésus pour tous les hommes. Un berger avait cent brebis. Il aimait ses brebis et les gardait dans une agréable vallée au fond des montagnes. La vallée était un endroit sûr, mais les montagnes étaient dangereuses. « L’Éternel est mon berger ; je n’aurai point de disette. Il me fait reposer dans des pâturages herbeux ; il me mène le long des eaux tranquilles » (Psaume 23.1-2). Une brebis est perdue Le berger à la recherche La brebis est sauvée
La chambre
Dans la sainte Bible il est écrit : «Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant Dieu. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans ces livres» (Apocalypse 20.12). Ce passage nous montre que Dieu enregistre nos actions. *** (LA CHAMBRE) * * * (Traduit de l’anglais par La Société Évangélique de Bibles et Traités) THE ROOM – Copyright 1995 New Attitudes/Joshua Harris
La délivrance du tabac
Dans sa recherche du bonheur, l’homme a pris différentes voies qui l’ont laissé déçu. Parmi celles-ci se trouvent les richesses, les activités sociales et l’usage du tabac et de l’alcool. Toutes ces choses ont laissé l’homme avec un vide intérieur. Dans Jean 4.1-30, Jésus fait référence à ce vide dans sa rencontre avec la femme samaritaine qui puisait de l’eau. Il lui a offert de l’eau vive qui comblerait la soif de son âme. L’eau du puits a comblé sa soif physique, mais Jésus a satisfait sa soif intérieure. Pourquoi les gens utilisent le tabac Un mauvais usage des ressources
Rendons-nous à l’évidence : les monstres terribles—les drogues, l’alcool et l’immoralité—sont en train de menacer et de détruire ce que Dieu a créé de noble et de bon. Comme les tentacules d’une pieuvre redoutable, ils saisissent et attirent les jeunes et les moins jeunes dans leur étreinte. Notre société ne peut produire la qualité de citoyens qui est nécessaire lorsque la boisson et les drogues sont tolérées et encouragées par le relâchement des mœurs de la part des parents, enseignants et professeurs.
« Venez voir ». Ces paroles prononcées avec émerveillement et révérence par une femme samaritaine se trouvent dans Jean 4.29. Elle venait de rencontrer un homme au puits du village qui lui avait dit être le Messie. Quelque chose en cet homme l’a convaincu qu’il connaissait tout sur elle, même s’il n’avait pas beaucoup parlé. Elle a ressenti son amour et sa compassion même si elle était pécheresse. Avec un sentiment d’urgence elle s’est dépêchée vers son village, oubliant sa cruche d’eau. « Venez » a-t-elle dit, « Venez voir et entendre pour vous-mêmes ».
Savez-vous que l’homme a été reconnu coupable de péché et condamné à mort par un Dieu saint ? S’il veut échapper à cette mort éternelle et être sauvé éternellement, il doit recevoir la miséricorde de Dieu. La miséricorde, à cet égard, consiste en ce que Dieu retienne la peine que l’homme mérite. Mais Dieu n’accorde pas sans condition sa miséricorde aux hommes, même si le salut est gratuit, sans prix, et ne peut être gagné. La condition à laquelle Dieu accorde sa miséricorde est la repentance. Tous ont péché Le péché sépare Jésus ouvre la porte
As-tu des sentiments de solitude ou une impression de culpabilité et de peur au fond de ton cœur ? Est-ce que tu te demandes quel est le but de ta vie ? Beaucoup de gens essaient de trouver la réponse à de tels sentiments. On peut trouver des divertissements ou d’autres activités pour soulager momentanément ces sentiments, mais ensuite ils reviennent, parfois même plus forts que jamais auparavant. Matthieu 11.28 – Viens à moi. Matthieu 6.25-31 – Dieu prend soin de toi. Jean 3.16 – Dieu t’aime. Jean 14.15 – Obéis à Dieu.
La réponse pour toi
Un jour, Jésus voyageait avec ses amis. Il est arrivé aux portes d’une ville de Samarie. Jésus s’est assis au bord d’un puits pour se reposer pendant que ses amis allaient acheter de quoi manger. Comme Jésus était assis là, une femme est venue puiser de l’eau. Jésus lui a demandé : « Peux-tu me donner à boire ? » Étonnée, la femme lui a répondu : « Tu me demandes à boire ? Ne sais-tu pas que je suis Samaritaine et que ton peuple, les Juifs n’ont rien à voir avec nous ? »
Depuis qu’Adam et Ève ont désobéi à Dieu, tous les gens sont nés avec une semence de péché. Je l’ai. Vous l’avez. Nous l’avons tous. « Tous ont péché, et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3.23). Étant enfant, j’étais heureux. J’étais libre. Le sang de Jésus couvrait mes péchés. En grandissant, je ne me sentais plus aussi libre. Cette semence produisait en moi des pensées et des actions pécheresses. Je commençais à me sentir mal à l’aise. Parfois, j’étais confus ou j’avais peur. Et maintenant ? Je suis au bout du rouleau
Il y a une façon de se vêtir qui convient au chrétien et à sa sainte vocation. Paul écrit aux Philippiens : « conduisez-vous d’une manière digne de l’Évangile de Christ » (Philippiens 1.27). La manière dont une personne s’habille donne un aperçu de son cœur. L’habillement démontre l’estime qu’une personne a d’elle-même et révèle qui est le maître de sa vie. La volonté de Dieu est que la forme humaine soit adéquatement couverte et non exposée. Les vrais disciples de Christ ont toujours été reconnus par leur humble tenue vestimentaire.